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lundi 18 octobre 2021

Les effets bénéfiques du TAI-CHI

 

Les effets bénéfiques du TAI-CHI durent longtemps

  

Le TAI-CHI n’améliore pas seulement la souplesse, la posture et la maîtrise du corps : les mouvements continus et lents de cette discipline chinoise ont aussi un impact sur le sommeil et la santé mentale. Et même après l’arrêt de la pratique ! Une équipe de l’Université du sport de Chengldu, en Chine, a étudié l’effet de 24 semaines de TAI-CHI -1h, 3 fois par semaine- chez 19 femmes de 60 à 70 ans, avec un groupe contrôle de 20 participantes. Résultats : la fatigue a diminué de près de 20%, la dépression et les troubles du sommeil de 25%, et la vigueur a augmenté de 20%. Un mois plus tard, les bénéfices étaient conservés !

Prochaine étape : explorer le mécanisme intrinsèque de ces effets bénéfiques. « Research in Sports Med. », jan.2021

 

Articles extrait de la revue « SCIENCE ET VIE » du mois d’octobre 2021                                                        

La bise peut véhiculer des infections

 

La bise peut véhiculer des infections

 

Lorsque  l’on se fait la bise, il est possible de déposer quelques gouttelettes de salive infectées sur la joue de l’autre et, ce faisant, de la contaminer. Car, comme l’a montré une étude japonaise publiée à la fin 2020, l’agent du Covid (le SARS-CoV-2) peut, par exemple, survivre jusqu’à 9 heures sur la peau humaine.

Or, « si le virus ne pénètre pas directement par la peau, car elle est imperméable aux micro-organismes, il peut être transféré, par nos mains, de la joue vers les muqueuses des yeux, du nez et de la bouche, zones qui, elles, peuvent le laisser passer. Ces micro-organismes entreront alors dans le corps et infecteront les cellules. Sachant qu’inconsciemment, nous portons nos mains au visage plusieurs milliers de fois dans la journée », explique Loïc SIMON, biologiste hygiéniste au Centre d’appui pour la prévention des infections associées aux soins du Grand Est. Mais impossible d’évaluer ce risque : « A ma connaissance, à ce jour, aucune étude ne l’a quantifié », précise le biologiste.

 

Articles extrait de la revue « SCIENCE ET VIE » du mois d’octobre 2021                                                       

L'eau du robinet